Le Népal à Pattes

This is the end…the end.

Published on janvier 28th, 2011 in Katmandou

Ben oui, quoi de mieux qu’une chanson des Doors pour quitter Katmandou?

Des visages.

http://picasaweb.google.com/djiboudart/10KatmandouSuiteEtFinDuVoyage#

Katmandou, once again…

Published on janvier 27th, 2011 in Katmandou

Katmandou, 3e. Durbar Square, à la tombée de la nuit.

http://picasaweb.google.com/djiboudart/08Katmandou3e02#

Le bus de retour pour Katmandou!

Published on janvier 27th, 2011 in Bus, Katmandou

Les photos du bus le plus terrifiant du Népal.

http://picasaweb.google.com/djiboudart/07BusRetourKatmandou#

A Katmandou. 1er et 2 janvier.

Published on janvier 24th, 2011 in Katmandou

Katmandou, de retour de Bandipur. On récupère Arnaud.

http://www.flickr.com/photos/jboudart/sets/72157625769024241/

Katmandou, veille du départ.

Published on janvier 23rd, 2011 in Katmandou

Le 20 janvier.

Journée sans grand intérêt. Je tape mes textes dans un cyber-café, et je les poste sur le net, ce qui me prend pas mal de temps. Je mets quelques photos.

Arnaud va se promener, seul.

Alix fait les derniers achats-souvenirs…

Longue pause-déjeuner (2 heures) à la terrasse d’un café, à essayer de compléter les mots-croisés anglais du Kathmandu Post. Rien de bien notable. Quelques photos, les dernières de ce voyage. Alix et moi recherchons, en vain, des pâtisseries que nous ne connaitrions pas… Le spleen monte doucement. Déjà.

La soirée s’éternise, les sacs sont longs à faire. Ne rien oublier, surtout. Non, ne rien oublier.

Depart de Johan.

Published on janvier 20th, 2011 in Katmandou

Le 18 janvier.

Johan part aujourd’hui, vers 11h30-12h.

Préparatifs donc, pour lui. Nous, nous flânons. Katmandou est une ville qui est tellement agitée la journée qu’il y a toujours quelque chose qui intrigue les sens : les livreurs à vélo transportant leurs bidons d’eau ou leurs bonbonnes de gaz, les klaxons (derrière vous, devant vous), les vendeurs de tout et n’importe quoi (« You want hash, sir? »), les échoppes sombres à demi-fermées dans lesquelles on aimerait jeter un coup d’oeil, les étals de viande ou de poisson quasiment au niveau du sol, ramassant la poussière soulevée par les motos qui pétaradent. Les enfants qui vous hèlent d’un « Hello! » retentissant, pour montrer leur maitrise de l’anglais et impressionner les copains ; les vieilles au visage burine, sorties tout droit d’un film de Sergio Leone, qui rouspètent parce que vous avez esquissé le geste de les prendre en photo (je les comprends), les chiens errants, galeux, éclopés et borgnes, les boutiques d’articles pour touristes d’où les vendeurs guettent la moindre petite parcelle de peau blanche (synonyme de prix multipliés par dix…).

Bref, un énorme capharnaüm.

Nous disons adieu à Johan, qui quitte la pension chargé comme une mule. Adieux émouvants, embrassades, pleurs, déchirements… Non, je rigole. On sait qu’on va vite se refaire quelque aventure à l’autre bout du monde.

Le soir, direction la colline de  Swayanbunath, d’où l’on peut contempler toute la ville. Pour chaque touriste, il faut payer 200 roupies. les Nepalais ne payent pas, eux. Un peu fort. Mais c’est ainsi depuis le début de notre voyage. Les bâtiments sont beaux, mais laisses a l’abandon. Un gros gâchis. Tout est honteusement sale. Des singes partout (d’où le surnom du lieu, « Monkey Temple »), malades comme les chiens de la ville…

Derniers jours a Katmandou…

Published on janvier 20th, 2011 in Katmandou

Le 17 janvier.

La veille, nous sommes arrivés à Katmandou sous la pluie. Du coup ce matin l’atmosphère est respirable. Pas de poussière, moins de pollution. Du moins en apparence. Chacun vaque à ses occupations. Je mets enfin mes textes en ligne, Alix et Johan font les boutiques (cadeau pour la famille et les amis, obligatoire). Arnaud… Et bien Arnaud lit, comme tout au long de ces aventures!

L’après-midi, nous nous promenons dans le « vrai » Katmandou, en progressant lentement vers Durbar Square.

On trouve un « Durbar Square » dans toutes les villes du pays. Il s’agit d’une place regroupant un ensemble de temples hindouistes.

Arrivés là-bas, nous nous arrangeons avec un guide « officieux » qui nous fait passer par une petite entrée et nous évite ainsi les 300 roupies par personne que nous réclame le Cerbère des lieux, une Népalaise à lunettes planquée dans une cahute faisant office de guichet. Oui, ca n’est pas bien, nous fraudons…

Le guide parle français, il a une tête avenante et effectivement, il s’avère très sympathique. La visite est intéressante.

Les temples du Durbar Square de Katmandou ont 600 ans environ, et ils ont été restaurés après un grand tremblement de terre vers 1930. C’est assez beau, et calme. L’accès est interdit aux voitures. Un petit havre de paix dans l’univers frénétique de cette ville.

Pendant cette balade, qui dure bien 4 heures, nous essayons toutes sortes de pâtisseries locales… Alix et moi sommes curieux de tout ce qui se mange et que nous n’avons pas encore goûté! Il en va ainsi jusqu’à la nuit tombante.

Retour en bus.

Published on janvier 20th, 2011 in Katmandou, Langtang

Le 16 janvier.

Départ du bus a 6h45. Seulement ¼ d’heure de retard. Chapeau! Pas trop de monde, la route plutôt en bon état… Tout s’annonce pour le mieux. Sur les Annapurnas, on a connu pire. Oui mais voilà : nous sommes au Népal. Un voyage en bus est un rite de passage éprouvant et cauchemardesque par nature.

Nous n’avions pas prévu la neige. Une neige d’abord fine et légère, puis lourde et épaisse, collante, qui vient s’agglutiner sur le pare-brise. Par endroit la route monte en pente raide, puis redescend de la même manière. Sur le chemin (pas d’asphalte, non) la neige gèle. Les pneus sont lisses, nous les avons examine avant de partir. Pas de chaines, évidemment… A un moment bien précis, un virage sur la gauche, une pente affreuse et une énorme plaque lisse, blanche et mortelle. A notre droite, combien? 500? 1000 mètres de vide? Le chauffeur s’arrête. Il hésite. Oh, et puis après tout? Il ne s’agit que d’un bus pourri qui a 30 ou 40 ans, aux pneus lisses comme le crâne d’un moine bouddhiste, avec a son bord 35 personnes alors qu’il ne peut en contenir qu’une vingtaine…

Je me dis (et Johan l’a pensé en même temps que moi) que nous allons mourir ici. Les mains agrippent le siège.

Et ca passe.

Alain Prost est un petit joueur. Le meilleur pilote du monde est un obscur conducteur de bus népalais qui n’utilise pas ses clignotants et ignore tout des règles de conduite.

Arrivée a Katmandou vers 17h15. Nous ne nous étendrons pas sur le reste du trajet, les gens qui vomissent, les enfants qui s’urinent dessus, les poules qui défèquent sur les sièges pendant les pauses (pauvre Alix) ainsi que les 20 népalais et ces deux pauvres chèvres installes sur le toit pendant un gros tiers du trajet.

Le soir, restau (un peu décevant) pour fêter le fait d’être encore vivants.

Katmandou, le 2 janvier.

Published on janvier 17th, 2011 in Katmandou

Lever tot. Nous initions Arnaud au petit dej’ local : the chai et beignets gras. Objectif de la matinee : pourvoir notre nouvel equipier en vetements de montagne. Exploit accompli en une demi journee! Remarquable.

Le temps est gris, maussade.

Apres les debordements gastronomiques des derniers jours, on essaie de se limiter financierement. Du coup a midi c’est momos pour tout le monde.

L’apres-midi, j’ai un éclair de genie, une idée lumineuse, bref, deux neurones qui se connectent : afin d’eviter les 9 heures de bus pour rejoindre Dunche, point de depart du trek du Langtang, je propose aux autres de commencer le lendemain sur le trek d’Helambu, et de rejoindre la vallee du Langtang par le col de Gosainkund. Quelques jours de marche, mais nous sommes la pour ca, après tout!

Adopte a l’unanimite. Depart le lendemain, a 7h30.

Back to Katmandou…

Published on janvier 17th, 2011 in Katmandou

1er janvier.

Nous quittons Bandipur au matin. En Jeep, juste pour em…der le chauffeur du bus local qui nous demande 50 roupies par tete (ca doit etre quelque chose comme 10 roupies pour les habitants).

Nous prenons le bus pour Katmandou dans la vallee. Quelques heures et un film Bollywoodien – oui, nous avons droit a la tele! – plus tard, nous revoila a notre point de depart. Retour a la Famiy Peace Guesthouse. Les douches sont bien evidemment… froides.

Arnaud debarque vers 16h30. Ca fait plaisir. On discute, on l’assomme de details, d’anecdotes… Le pauvre. Puis on va manger thai. Gros repas de fete (le 2e en 2 jours!) et au lit tard, vers 22h30.