Bon, alors j’ai des nouvelles de Tony… Il a finalement passé le col de Thorung La, avec son fils.
Ils ont loué un cheval, pour porter le garçon.
Ca fait plaisir!
Bon, alors j’ai des nouvelles de Tony… Il a finalement passé le col de Thorung La, avec son fils.
Ils ont loué un cheval, pour porter le garçon.
Ca fait plaisir!
Ben oui, quoi de mieux qu’une chanson des Doors pour quitter Katmandou?
Des visages.
http://picasaweb.google.com/djiboudart/10KatmandouSuiteEtFinDuVoyage#
Katmandou, 3e. Durbar Square, à la tombée de la nuit.
Les photos du bus le plus terrifiant du Népal.
http://picasaweb.google.com/djiboudart/07BusRetourKatmandou#
Le 21 janvier.
J’ai mis du temps pour l’écrire, celui-là !
Il en faut pour digérer le retour à Paris.
Flashback.
C’est la fin…
Lever à 6h40, pour prendre un taxi vers 7h20 qui nous emmène à l’aéroport… On doit partir à 10h20. Normalement. Parce que si nous avons retenu une chose des transports au Népal, c’est qu’il ne faut jamais se fier à un petit bout de papier !
Et pour cause. L’avion est annulé. On essaie de se rabattre sur un autre vol. Peine perdue. Nous ne sommes pas prioritaires. Le patron local d’Air India nous propose un vol avec escale à Bankgok (!). Bof. Du coup nous récupérons un vol pour New Delhi (ce qui était déjà convenu sur le vol originel) à 15h30, puis un vol à destination de Paris à 2h du matin dans la nuit du 22… Arrivée à Roissy à 6h, heure locale. On se rabat sur celui-là.
Yann, un suisse rencontré sur le trek du Langtang, s’est joint à nous. Il devait prendre le même avion. Il emporte un sitar (guitare népalaise) qui pèse 8 kgs. Afin d’éviter de payer des surtaxes de charge, il file discrètement un petit bakchich (700 roupies) au mec du comptoir d’enregistrement des bagages. Ca passe comme une lettre à la poste…
L’avion décolle finalement à 17h. A moitié vide. On n’ose pas penser aux précédents, qui devaient l’être tout autant…
Arrivée à New Delhi. On poireaute en transit, les billets pour Paris n’étaient finalement pas validés. Du coup on fait le forcing auprès de l’hôtesse indienne d’Air France afin de faire accélérer le processus. Elle réussit à nous caser sur le vol. Arnaud la remercie, elle lui décoche un gros sourire, et lui dit qu’il ressemble à Ricky Martin (!?), on est tous morts de rire.
Petit dodo vite fait dans la zone de duty free de Delhi. Malgré le retard, je dois dire que nous sommes restés véritablement sereins. Pas l’image typique du français râleur qui exige qu’on lui affrète un avion pour rentrer à l’heure…
Nous embarquons dans un énorme Jumbo Jet, et décollons vers 2h00. Je me retrouve assis à côté d’un Sikh à l’apparence austère. Alors que je me lève pour la deuxième fois seulement, afin de récupérer quelque chose dans mon sac, il me dit d’un ton sans appel : « last time, hu ? ». Okay…
Le vol se passe tranquillement, l’hôtesse prend des nouvelles du monsieur à côté de moi : « Is that okay, you’re not sick any more, Sir ? ». J’ai envie de sortir une petite blaguounette et de lui dire « Well, he’s not sick anymore but he’s still Sikh ! ». Je me retiens. Pas envie d’être égorgé par un Indien en turban revanchard.
Arrivée à Paris dans les temps. Il fait froid, mais ça va. Nous récupérons nos bagages, et nous prenons le RER B. Retour à la normale… On regarde le paysage défiler par la fenêtre. Les yeux un peu dans le vide. La fatigue, et puis la tête ailleurs. Encore un peu dans le voyage, quoi…
Cinq jours dans la vallée du Langtang… De Thulo Syabru à Syabru Besi.
Thulo Syabru, escale à 2200m. Le meilleur lodge du trek.
Seconde partie de notre second trek. Passage du Laurebina Pass.
http://www.flickr.com/photos/jboudart/sets/72157625894706998/
Photos de la premiere partie de notre second trek. Helambu, quoi.
http://www.flickr.com/photos/jboudart/sets/72157625894611286/